Le fœtus serait en effet très vulnérable aux radiations émises par le portable qu’il ne faut donc utiliser qu’en cas de force majeure. Dans un communiqué, le Pr Dominique Belpomme, président de l’ARTAC, rappelle toutefois que le téléphone portable causerait moins de cancers que les pollutions chimiques. Il faut par ailleurs aussi penser, en dehors du portable, à d’autres sources de radiations comme le wifi ou les lignes à haute-tension, et se souvenir que le risque augmenterait avec la durée d’exposition.
Le débat est actuellement très animé entres les experts. En effet, de son côté, l'Académie de médecine conteste beaucoup des informations "alarmistes" avancées actuellement par certains médecins, rappelant que les arguments scientifiques manqueraient !
Source : communiqué de presse de l’ARTAC, 17 juin 2008.
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